A suivre de près : La Voie des Indés

Inclassables
Inclassables
A suivre de près : La Voie des Indés

Date
1/8/2014
Lecture
Partage
Tags
No items found.

Comme tout le monde, vous avez sans doute entendu parler et reparler et parler encore de la Rentrée Littéraire, déjà attaquée... en juin (piles de livres, notes, bonnes feuilles...). Si nous vous en parlerons, un peu, de cette rentrée littéraire incontournable et des grands noms qui continuent leurs classes, nous avons surtout envie de vous parler d'une "autre" rentrée. Littéraire, elle aussi, bien sûr. Mais plus discrète. Moins présente partout dans les journaux, radios, télés etc. Une rentrée plus feutrée mais plus indépendante : La Voie des Indés

LOGOVDISITE

Du 18 août au 15 décembre, ce sont 80 éditeurs, 250 auteurs, 100 bibliothécaires et 60 libraires (en plus des lecteurs) qui vous proposent, sur Internet et dans différents lieux du livre, de découvrir une autre édition, une autre rentrée. Une autre lecture : une "exploration collective de l'édition indépendante francophone".

logo-libflybis

Comme on dit "stay tuned" : Libfly va proposer un portail dédié dès la fin août et vous pourrez également participer en proposant des chroniques. Guettez aussi les différents événements prévus autour du livre, dont une soirée de clôture au Point Ephémère. Hype!

A vos marques, prêts ? LISEZ!

Articles récents

[INTERVIEW] Les éditions des Flammes Noires

Rencontre avec un éditeur indépendant spécialisé dans les livres sur le metal : Flammes Noires !

[INTERVIEW] Pierre Girard : "La littérature arabophone contemporaine est marquée par une grande diversité"

Poursuivons la plongée dans le catalogue du projet LEILA, destiné à promouvoir la littérature arabophone, avec l’un de ses contributeurs, Pierre Girard.

[INTERVIEW] Shaun Hutson : "Lire mes livres, c'est aller à un concert de metal"

Si vous n’avez pas l’habitude de lire des romans d’horreur, vous ne connaissez peut-être pas Shaun Hutson, ce genre de type qui s’inspire comme on respire, écrit comme on boit de l’eau, fait surgir l’horreur au coin de la rue en un battement de cil